La croissance importante des énergies renouvelables depuis 2005 due à l'essor des Pompes à Chaleur !
La croissance importante des énergies renouvelables depuis 2005 est principalement due à l’essor des biocarburants, des pompes à chaleur et de la filière éolienne.
Près de 30 % de la croissance des énergies renouvelables depuis 2005 est imputable au développement des biocarburants (+ 2,5 Mtep) et près d’un quart à celui des pompes à chaleur (+ 2,0 Mtep).
L’essor de l’éolien (+ 1,8 Mtep), de la biomasse solide pour le chauffage (+ 1,6 Mtep) et du solaire photovoltaïque (+ 0,7 Mtep) y contribue également.
À l’inverse, l’hydroélectricité s’est repliée de 9 % sur la même période, ne représentant plus que 21 % de la consommation d’énergie renouvelable en 2016, contre 37 % en 2005.
Près de 30 % de la croissance des énergies renouvelables depuis 2005 est imputable au développement des biocarburants (+ 2,5 Mtep) et près d’un quart à celui des pompes à chaleur (+ 2,0 Mtep).
L’essor de l’éolien (+ 1,8 Mtep), de la biomasse solide pour le chauffage (+ 1,6 Mtep) et du solaire photovoltaïque (+ 0,7 Mtep) y contribue également.
Chaleur et froid renouvelables :
Environ 78 % du niveau prévu par la trajectoire relative au chauffage et au refroidissement est atteint en 2016, soit un écart de 3,5 Mtep.
Cet écart est essentiellement porté par la filière biomasse solide et déchets urbains renouvelables, dont la consommation s’élève en 2016 à 9,8 Mtep, contre 13,2 Mtep initialement prévus.
Dans le résidentiel, la consommation de bois des ménages pour se chauffer est toutefois très proche du niveau attendu.
Le développement des pompes à chaleur est en revanche bien plus important qu’escompté dans le PNA EnR, l’objectif 2020 étant d’ores et déjà dépassé de près de 18 %.
Celui des autres filières renouvelables thermiques se poursuit mais ne permet pas pour le moment d’atteindre la trajectoire prévue.
Cet écart est essentiellement porté par la filière biomasse solide et déchets urbains renouvelables, dont la consommation s’élève en 2016 à 9,8 Mtep, contre 13,2 Mtep initialement prévus.
Dans le résidentiel, la consommation de bois des ménages pour se chauffer est toutefois très proche du niveau attendu.
Le développement des pompes à chaleur est en revanche bien plus important qu’escompté dans le PNA EnR, l’objectif 2020 étant d’ores et déjà dépassé de près de 18 %.