L’Afpac a demandé à la société de conseil spécialisé en « empreinte carbone » Carbone 4 d’analyser l’impact de la mise en place d’une taxe sur les fluides frigorigènes HFC sur les PAC utilisées en chauffage et production d’ECS.
« L’instauration d’une taxe sur les fluides frigorigènes, qui viendrait en supplément du dispositif de quotas existant au sein de l’Union européenne, renchérirait de façon significative les coûts des pompes à chaleur et chauffe - eau thermodynamiques : de + 1, 2% à +8 ,4 % en coûts d’investissement et de +2,4 % à + 6,8 % en coûts globaux », conclut Carbone 4. « Elle dégrade ainsi la compétitivité des solutions PAC et CET face aux solutions gaz (qui sont comparables si l’on considère les coûts sur la durée de vie des équipements) alors que les PAC et CET ont un impact bien meilleur en termes d’émissions de gaz à effet de serre ».
Ainsi, selon la société de conseil, « une taxe HFC, qui a le même objet que la politique européenne de quotas, ne ferait que renchérir les coûts des solutions PAC et CET alors que la transition des PAC et CET vers des fluides frigorigènes moins émissifs est déjà engagée ».
Ainsi, selon la société de conseil, « une taxe HFC, qui a le même objet que la politique européenne de quotas, ne ferait que renchérir les coûts des solutions PAC et CET alors que la transition des PAC et CET vers des fluides frigorigènes moins émissifs est déjà engagée ».