La filière PAC a dépassé la trajectoire prévue pour 2016
En France métropolitaine, en données corrigées des variations climatiques, le bois-énergie a représenté, en 2016, 71,2% de la consommation primaire d’EnR pour la production de chaleur, les PAC 15,6%, le solaire thermique seulement 0,7%.
C’est ce qui ressort d’une étude récente du Commissariat général au développement durable, qui précise que, par contre, dans les DOM, le solaire thermique a constitué, toujours en 2016, 63% de cette même consommation primaire d’EnR pour la production de chaleur (contre 32% pour la biomasse solide et 6% pour le biogaz), et ce en données non corrigées des variations climatiques.
L’étude indique par ailleurs que, en 2016, pour l’ensemble métropole+DOM, la consommation finale brute de chaleur renouvelable a atteint 67,4% de l’objectif officiel fixé pour 2020, avec 17,9% en solaire thermique, 27% en géothermie, 117,7% en PAC, 66,5% en biomasse solide (y compris déchets urbains renouvelables) et 43,6% en biogaz.
La filière PAC a ainsi dépassé la trajectoire prévue pour 2016, alors que le solaire thermique, la géothermie, la biomasse solide et le biogaz chaleur présentaient des retards importants, commente l’étude.
Elle ajoute que, entre 2005 et 2016, pour l’ensemble métropole+DOM, la consommation finale brute s'est accrue de : 117 ktep en solaire thermique, 29 ktep en géothermie, 1 975 ktep en PAC, 2 319 ktep en biomasse solide (y compris déchets urbains renouvelables) et 193 ktep en biogaz.
Par rapport à la trajectoire prévue pour 2016 par le Plan national d’action, cette consommation finale brute était, en 2016, en retrait de 389 ktep en solaire thermique, de 215 ktep en géothermie, de 2 605 ktep en biomasse solide et de 78 ktep en biogaz, alors qu’elle était en avance de 603 ktep en PAC.
En 2016, poursuit l’étude, la consommation finale brute a totalisé 166 ktep en solaire thermique (+3,1% sur 2015), 135 ktep en géothermie de basse et moyenne énergie, 2 178 ktep en PAC (avec 270 ktep en PAC géothermiques), 1 114 ktep en réseaux de chaleur et 10 575 ktep en biomasse solide et déchets urbains renouvelables (avec 6 951 ktep pour la consommation de bois des ménages), et ce pour l’ensemble métropole+DOM.
L’étude indique également que les DOM ont représenté 41% des surfaces de capteurs solaires thermiques installées en France en 2016 et que, par ailleurs, la production de chaleur cogénérée à partir de biogaz a progressé de 19% entre 2015 et 2016.
C’est ce qui ressort d’une étude récente du Commissariat général au développement durable, qui précise que, par contre, dans les DOM, le solaire thermique a constitué, toujours en 2016, 63% de cette même consommation primaire d’EnR pour la production de chaleur (contre 32% pour la biomasse solide et 6% pour le biogaz), et ce en données non corrigées des variations climatiques.
L’étude indique par ailleurs que, en 2016, pour l’ensemble métropole+DOM, la consommation finale brute de chaleur renouvelable a atteint 67,4% de l’objectif officiel fixé pour 2020, avec 17,9% en solaire thermique, 27% en géothermie, 117,7% en PAC, 66,5% en biomasse solide (y compris déchets urbains renouvelables) et 43,6% en biogaz.
La filière PAC a ainsi dépassé la trajectoire prévue pour 2016, alors que le solaire thermique, la géothermie, la biomasse solide et le biogaz chaleur présentaient des retards importants, commente l’étude.
Elle ajoute que, entre 2005 et 2016, pour l’ensemble métropole+DOM, la consommation finale brute s'est accrue de : 117 ktep en solaire thermique, 29 ktep en géothermie, 1 975 ktep en PAC, 2 319 ktep en biomasse solide (y compris déchets urbains renouvelables) et 193 ktep en biogaz.
Par rapport à la trajectoire prévue pour 2016 par le Plan national d’action, cette consommation finale brute était, en 2016, en retrait de 389 ktep en solaire thermique, de 215 ktep en géothermie, de 2 605 ktep en biomasse solide et de 78 ktep en biogaz, alors qu’elle était en avance de 603 ktep en PAC.
En 2016, poursuit l’étude, la consommation finale brute a totalisé 166 ktep en solaire thermique (+3,1% sur 2015), 135 ktep en géothermie de basse et moyenne énergie, 2 178 ktep en PAC (avec 270 ktep en PAC géothermiques), 1 114 ktep en réseaux de chaleur et 10 575 ktep en biomasse solide et déchets urbains renouvelables (avec 6 951 ktep pour la consommation de bois des ménages), et ce pour l’ensemble métropole+DOM.
L’étude indique également que les DOM ont représenté 41% des surfaces de capteurs solaires thermiques installées en France en 2016 et que, par ailleurs, la production de chaleur cogénérée à partir de biogaz a progressé de 19% entre 2015 et 2016.